Programme, point n°4 : personnels non enseignants de l'IUT

Publié le par Francois Lacroux

Vous pouvez maintenant télécharger la quatrième partie de mon programme, consacrée aux personnels non enseignants. Politique vis à vis des contractuels, participation aux décisons, commission des personnels font partie des points évoqués Le document est accessible sur la partie gauche du blog. 

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Publié dans Mon programme

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F
Waaaazzahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
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F
Oui, waaazah aussi, Franck.
E
Très bonne idée que d'intégrer les PNE aux décisions qui engagent l'IUT. Mais comment s'articulerait ce début de démocratie participative avec l'instance décisionnaire qu'est le CA ?<br /> <br /> Le danger est encore de créer une commission que l'on consulte, qui émet un avis qui, si il est contraire à la tendance du CA, restera lettre morte.<br /> <br /> Se souvenir de ce qui s'est passé dernièrement pour le poste de technicien de GMP. Les diverses commissions ont voté pour une transformation du poste, et le CA s'est assis dessus, privilégiant l'esprit de corps - on ne touche pas aux personnels dans les départements (dixit Joël GRILLASCA).<br /> <br /> Autres questions : le CA est-il encore représentatif (ce mot a-t-il d'ailleurs un sens aujourd'hui ?) et ne serait-il pas plus efficace en étant plus resserré ?<br />
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F
Effectivement, l'existence d'une commission ne conditionne pas son efficacité. Mais dans ce cas comme dans d'autres, tout tourne autour d'un problème de gouvernance. <br /> Les commissions ne sont pas là dans l'absolu pour décider, c'est aux élus de le faire (Cf. les attaques à la "Commission Européenne", qui n'est après tout là que pour appliquer les directives décidées par le Conseil des Ministres de l'Europe).<br /> De la même façon, à l'IUT, le problème de fond tournera autour de l'engagement du directeur, pour ne pas le nommer, à se conformer à ce qu'il aura promis. Et pour cela, malheureusement, avant que les premières décisions ne soient prises, je ne peux que rester dans le domaine de l'engagement formel. Pour autant, je ne souhaite pas m'y soustraire, et je t'engage à me rappeler ce que je vais t'écrire s'il advient que j'occupe ce poste : la dimension des PNE sera prise en compte avant toute décision de création de diplômes, de développement de nouvelles filières. Et pour reprendre un terme à la mode, si la commission ad hoc confirme, à l'issue d'un examen sérieux argumenté, et pragmatique (donc sans se baser sur des critères généraux), que les personnels ne sont pas disponibles pour ces créations, ce droit sera opposable : les créations n'auront pas lieu.<br /> Pour ce qui est de la composition du CA, on arrive malheureusement aux limites de l'action du Directeur. La composition du Conseil est dans les statuts, et la changer n'apparaîtrait pas évident, pour beaucoup de raisons : que doit-on limiter ? La présence des étudiants (mais de quel département ?), des enseignants de l'IUT (mais de quel statut ?), des personnalités extérieures (mais quelles institutions avantager ou désavantager ?), des représentants syndicaux (mais de quel syndicat ?).<br /> Bref, le problème est complexe. Mais pour le résoudre, je préconise déjà une solution à court terme, accessible dans la partie 1 de mon programme consacrée à la gouvernance : laissons ce Conseil faire son travail et laissons la démocratie s'y exprimer, plutôt que le laisser être ce qu'il est devenu : une chambre d'enregistrement où les dossiers sont présentés de façon partielle et partiale, et où la présentation d'une opinion contraire à celle du Directeur est vécue comme une attaque personnelle et se traduit pour l'imprudent par une suite d'invectives ou de mensonges (je pèse mes mots).